À propos...

Dear you,

Un jour ou l'autre, nous serons tous confrontés à une maladie cardiovasculaire. Que l'on soit atteint et que l'un de nos proches soit touché. Il s'agit aussi de la première cause de mortalité dans le monde* . A cause de cette prépondérance, et parce que les battements du coeur n'ont eu de cesse de fasciner les hommes, poètes, scientifiques, médecins, chocolatiers, amoureux, le coeur est sans nul doute l'organe le plus étudié dans l'histoire et son mécanisme est parfaitement maîtrisé.

Cette préface pour rassurer: quitte à se faire opérer autant que ce soit dans la discipline reine. C'est justement ce qu'un ami (#teamConan) m'a dit lorsque l'on m'a annoncé que j'allais subir une chirurgie à coeur ouvert pour corriger une malformation cardiaque congénitale.

Rassuré (ou pas), et malgré l'assistance du personnel médical, que l'on soit malade, parent, conjoint, enfant, ami, ou simplement concerné, à l'annonce d'une intervention, les questions se bousculent, surtout après les rendez-vous, sur le chemin du retour, une fois chez soi, au moment de dormir. Et puis il y a aussi l'anxiété.

Alors le premier réflexe est de chercher des informations en ligne, de contacter des associations  ou tout simplement de se rapprocher de personnes ayant eu une expérience similaire. Un autre #HeartWarrior, une #HeartMom ou un #HeartBro. 

Ce blog, Note de Coeur, est ma réponse évidente et personnelle à cette opération. Je vis ce que tant d'autres ont vécu et vivront. Il ne constitue qu'une infime partie des écrits virtuels, mais si, un jour, il peut aider, quelqu'un à mieux appréhender ce parcours, alors ça vaut la peine de consigner quelque part moments et états d'âmes. 

Parler à la première personne est un exercice qui me met mal à l'aise. Le faire en français encore moins. Mais il y a si peu de récits francophones qui témoignent du "ressenti" du patient et il est presque exutoire de le faire. Simple amateur, je compte sur ton indulgence quant à mes anglicismes, ma maladresse, (mon tutoiement), et mon humour parfois incompréhensible.

Donc sans prétention aucune, c'est parti pour ma Note de Coeur. J'espère partager ici plus de sourires et de rires que de tensions et de larmes. Mais déjà je te remercie de me lire (malgré mes bavardages...), et sache que chaque commentaire fait chanter mon coeur et chaque mot de soutien éloigne les inquiétudes.

♥♥♥ Love

Si tu as des questions, que tu as besoin d'être rassuré, patient ou proche, n'hésite pas à me contacter via ce formulaire.

*Source: rapport 2011 de l'OMS

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Dear you,

Un jour ou l'autre, nous serons tous confrontés à une maladie cardiovasculaire. Que l'on soit atteint et que l'un de nos proches soit touché. Il s'agit aussi de la première cause de mortalité dans le monde* . A cause de cette prépondérance, et parce que les battements du coeur n'ont eu de cesse de fasciner les hommes, poètes, scientifiques, médecins, chocolatiers, amoureux, le coeur est sans nul doute l'organe le plus étudié dans l'histoire et son mécanisme est parfaitement maîtrisé.

Cette préface pour rassurer: quitte à se faire opérer autant que ce soit dans la discipline reine. C'est justement ce qu'un ami (#teamConan) m'a dit lorsque l'on m'a annoncé que j'allais subir une chirurgie à coeur ouvert pour corriger une malformation cardiaque congénitale.

Rassuré (ou pas), et malgré l'assistance du personnel médical, que l'on soit malade, parent, conjoint, enfant, ami, ou simplement concerné, à l'annonce d'une intervention, les questions se bousculent, surtout après les rendez-vous, sur le chemin du retour, une fois chez soi, au moment de dormir. Et puis il y a aussi l'anxiété.

Alors le premier réflexe est de chercher des informations en ligne, de contacter des associations  ou tout simplement de se rapprocher de personnes ayant eu une expérience similaire. Un autre #HeartWarrior, une #HeartMom ou un #HeartBro. 

Ce blog, Note de Coeur, est ma réponse évidente et personnelle à cette opération. Je vis ce que tant d'autres ont vécu et vivront. Il ne constitue qu'une infime partie des écrits virtuels, mais si, un jour, il peut aider, quelqu'un à mieux appréhender ce parcours, alors ça vaut la peine de consigner quelque part moments et états d'âmes. 

Parler à la première personne est un exercice qui me met mal à l'aise. Le faire en français encore moins. Mais il y a si peu de récits francophones qui témoignent du "ressenti" du patient et il est presque exutoire de le faire. Simple amateur, je compte sur ton indulgence quant à mes anglicismes, ma maladresse, (mon tutoiement), et mon humour parfois incompréhensible.

Donc sans prétention aucune, c'est parti pour ma Note de Coeur. J'espère partager ici plus de sourires et de rires que de tensions et de larmes. Mais déjà je te remercie de me lire (malgré mes bavardages...), et sache que chaque commentaire fait chanter mon coeur et chaque mot de soutien éloigne les inquiétudes.

♥♥♥ Love

Si tu as des questions, que tu as besoin d'être rassuré, patient ou proche, n'hésite pas à me contacter via ce formulaire.

*Source: rapport 2011 de l'OMS

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